Es1 – La surveillance de l’espace au coeur des enjeux du spatial

Es1 – La surveillance de l’espace au coeur des enjeux du spatial

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Es1 – La surveillance de l’espace au coeur des enjeux du spatial

Brendan LOYANT (Telespazio)

Le spatial joue aujourd’hui un rôle essentiel dans la préservation de la planète, le développement de la société et en particulier de l’aviation civile, mais aussi la souveraineté des Etats. La multiplicité des usages, tant civils que militaires, se traduit par une augmentation du nombre de lancements et d’objets en orbite. Il en résulte le besoin de déployer des services de surveillance de l’espace pour améliorer la connaissance de l’environnement des satellites et assurer une exploitation sûre et durable de l’espace. Les différentes facettes de ces services (suivi des débris, surveillance de satellites potentiellement hostiles, météorologie de l’espace… et l’intérêt de combiner chez un métaopérateur les services d’opération de satellites et de surveillance de l’espace feront l’objet de la présentation et du débat qui suivra.

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23 avril 2024 | 9h00 - 12h00
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Brendan LOYANT (Telespazio)
Mo3 - Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)
24 avril 2024 | 9h00 - 12h00
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Thomas RIGAUT (CS Group)
Mo4 - Modélisation des chocs à l’oiseau
24 avril 2024 | 13h30-16h30
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Mo4 – Modélisation des chocs à l’oiseau

Vincent JACQUES (Dassault-Aviation)
Es1 – La surveillance de l’espace au coeur des enjeux du spatial

Es2 – Incidences de la CMR 23 sur les fréquences des services de communications spatiaux et aéronautiques

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Es2 – Incidences de la CMR 23 sur les fréquences des services de communications spatiaux et aéronautiques

Amar SAÏDANI (Agence nationale des fréquences)

La Conférence Mondiale des Radiocommunications de 2023 (CMR-23) aura lieu en fin d’année aux Emirats Arabes Unis. Les CMR révisent le Règlement des Radiocommunications, traité international régissant l’utilisation du spectre des fréquences radioélectriques et des orbites des satellites. La conférence abordera des points structurants pour l’utilisation des fréquences spatiales et aéronautiques tels que : VHF aéronautique par satellite, connectivité des avions via des constellations de satellite non-gestionnaires, liaisons par satellites pour commande/contrôle des drones et avions sans pilote, véhicules suborbitaux, protection de la radionavigation par satellites GPS/GALILEO à bord des avions vis-à-vis des brouillages. L’entretien fera un point sur les décisions prises pendant la CMR et l’impact de ces décisions feront l’objet du débat. 

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Vincent JACQUES (Dassault-Aviation)
Mo3 – Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)

Mo3 – Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)

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Mo3 – Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)

Thomas RIGAUT (CS Group)

Quelles réalités se cachent derrière le terme de MBSE, ou Ingénierie Système basée sur les modèles? On constate en effet sur le terrain une grande diversité de cas d’usage, de propositions de valeur, de langages de modélisation, de cadres d’architecture… Comment naviguer entre toutes ces options et faire les bons choix? Et quelles sont les évolutions nécessaires du MBSE pour qu’il prenne sa juste place dans la transformation numérique des industriels de l’aérospatial et de la défense ?

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Vincent JACQUES (Dassault-Aviation)
Mo3 – Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)

Mo4 – Modélisation des chocs à l’oiseau

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Mo4 – Modélisation des chocs à l’oiseau

Vincent JACQUES (Dassault-Aviation)

Le ciel appartient aux oiseaux. Depuis un peu plus d’un siècle, l’homme y a étendu son activité, et doit partager l’espace disponible. Les chocs entre aéronefs et volatiles ne sont pas si rares que cela et peuvent avoir des conséquences extrêmes sur la sécurité des vols (extinction moteur, endommagement structurelle de l’appareil, etc.). Il convient donc, dès la phase de conception, de vérifier la résistance de l’appareil aux « chocs à l’oiseau ». Or cette modélisation est bien plus délicate qu’il n’y parait car en plus de modéliser le comportement de la partie impactée (inerte), il est nécessaire d’également modéliser le comportement de la partie impactante (vivante). Nous aborderons donc lors de cet entretien les différentes approches de modélisation mises en œuvre afin de garantir la sécurité des vols lors de ces chocs particuliers. Et de se demander quels en sont les principales difficultés ? Ou encore si la modélisation permettra un jour de se passer de tests physiques ?

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Vincent JACQUES (Dassault-Aviation)
Mo3 – Les Fondamentaux du Model-Based System Engineering (MBSE)

Mo4 – Modélisation et spécification des chocs d’appontage-catapultage pour le dimensionnement et la qualification d’un avion marin.

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Mo4 – Modélisation et spécification des chocs d’appontage-catapultage pour le dimensionnement et la qualification d’un avion marin.

Ludovic COLO (Dassault Aviation)

Appontage, catapultage, un avion de combat marin subit de nombreux chocs de différentes natures, dont certains sont critiques et dimensionnant pour la structure ou les équipements internes. Leur prise en compte dans le processus de justification peut se faire de diverses façons. Quelles sont-elles ? Quels sont leurs avantages et leurs limites ?

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Mo3 – Interopérabilité et Systèmes de systèmes

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Mo3 – Interopérabilité et Systèmes de systèmes

Bruno DEPARDON (DPN Aéro)

La transformation numérique démultiplie les possibilités d’interaction entre les contributeurs, colocalisés ou distants, au fonctionnement d’un système. La valeur créée dans un « Système de Systèmes » provient de façon croissante de ces échanges physiques ou immatériels : en interne du système, et également en externe avec d’autres éléments ou systèmes autonomes mais sources de services déterminants. L’interopérabilité est donc essentielle, encore faut-il pouvoir identifier et concevoir les éléments qui la rendront effective.

Parcourir le champ des possibles qui s’agrandit de façon exponentielle ne peut se faire sans modélisation et simulation, en trouvant le bon compromis entre exhaustivité et complexité. Quels éléments doit-on prendre en compte, et comment assurer la représentativité du comportement alors que les contributeurs externes peuvent évoluer en autonome ?

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